bon je pence que des pepoel de se fofo on dja vu ou moin un clip ou mon lut chanter gratte moi...lol ben c'est de DS se groupe délire moi pérso j adors mdr car c'est assez décaler...comme mon pays le valais mdr...pis c tout simplemant original...
vla la biographie hihihi
Un band de Drummond' Les Trois Accords sont originaires de
Drummondville. Leur naissance remonte à 1997. Le groupe, formé à l'époque d'
Olivier Benoit et de
Simon Proulx, a tout d'abord été fondé dans le but de participer à un concours local. Le premier prix, une astronomique bourse de 75$, a été remportée avec facilité et réinvestit dans diverses actions de compagnies informatiques émergentes malheureusement peu prospères.
Profitant de cette lancée, le groupe incorpore un troisième membre à son équipe,
Alexandre Parr, et offre une deuxième performance deux ans plus tard, en 1999, dans le cadre de
Cégep en spectacle (section hors-concours) au
Collège Jean-de-Brébeuf de Montréal. Galvanisée par l'énergie stupéfiante du groupe, la foule arrache les bancs de l'auditorium, allume un feu de joie et danse autour de celui-ci avec frénésie. Une tournée de bars, bistros, restos, cafés, écoles, terrasses, pubs et rôtisseries s'en suit. La formation fut boulversée à chacune des places où elle arrêta, rêvassant d'y jouer un jour...
Après la pause, le groupe sombre dans une dépression et dans l'
enfer de la drogue...
Drogue et dépression En janvier 2001, après deux semaines d'états seconds et junkies, la barbe longue, les cheveux pas faits et les ongles sales, les membres du groupe se rendirent compte qu'ils devaient explorer la musique d'une autre façon et que le moyen le moins forçant pour y arriver serait l'ajout d'une section de percussions. Heureusement, l'homme qui vivait sous le pas de la porte depuis une semaine et qui se demandait qui il était, était là. Il était
Charles Dubreuil et il était un batteur de batterie aguerri. Le groupe lui fit signer un contrat sans ristourne. Charles étant non seulement muni d'une, mais bel et bien de deux oreilles, fit la confidence que la fameuse guitare à quatre cordes , qu'il avait vu dans une annonce, s'appelait une basse et se mariait très bien à un groupe de musique.
Pierre-Luc Boivert, un joueur de guitare à quatre cordes, vendit donc sa terre à pommiers de
Wickham, quitta les
forces armées canadiennes et trahissa son serment d'allégeance fait à la
reine pour se souder au groupe sous la menace d'une banane gelée, brunie par le temps mais encore bonne pour faire un gâteau.
Image de transition: Le soleil, à travers un ciel bleu et sans nuage, vît ainsi le groupe renaître.
Renaissance Ils apprirent finalement à jouer en 2001. Celle-ci fut une année charnière :
Sherbrooke, Drummondville,
Victoriaville,
Montréal et le
Népal virent tous les frasques du groupe. Dès 2002, ils peaufinèrent leur répertoire et se dirigèrent vers d'autres scènes se produisant à
Trois-Rivières et se reproduisant à Sherbrooke, Victoriaville. Arrivé à maturité en 2002, Le groupe offrit, devant près de 400 personnes, une première partie mémorable au concert de
Mononc' Serge ayant lieu le 5 octobre de cette même année au bar Puis, Le 19 octobre 2002 à Montréal, le
Café Chaos fut un chantier de délire incroyable alors que Les trois accords ont offert une prestation survoltée devant une salle comble et comblée. Ils ont littéralement brûlé les planches. le Café Chaos s'est donc vu dans l'obligation de déménager…
Depuis juillet 2002, ils habitent tous ensemble dans une maison troglodyte de la rue Wellington, à Sherbrooke, où ils vouent un culte sans bornes à la luxure, au
rock'n'roll et à la colle des bloc-notes Post-it qui se colle et se décolle indéfiniment, sans laisser de trace... C'est dans ce condo de luxe qu'ils ont enregistré le Gros Mammouth Album pendant les durs mois d'hiver. M. Jérome Boivert, propriétaire du studio Concept-Son, a réalisé d'une main de maître l'album. Celui-ci, distribué par
Local Distribution, est disponible depuis le mois d'octobre dans plus de 200 points de vente au Québec.
Le 20 septembre 2003, Les Trois Accords, avec l'appui de
Cism Fm, lancent leur album à l'
Alizée. Une soirée incroyable pour le groupe qui se produit devant une foule en délire.
Le 27 septmbre 2003, c'est au tour de Drummondville de recevoir leurs enfants chéris. Les Trois Accords ne se sont pas fait prier pour offrir un spectacle inoubliable dans la ville qui les a vu naître. Pendant plus de deux heures, ils ont interprété une vingtaine de leurs meilleures chansons. Un autre lancement réussi...
C'est en 2004 que la pièce " hawaiienne " commence à être diffusée sur les radios et chaînes télévisées de grande écoute. Les Trois Accords ne se doutent pas alors que cette pièce déclenchera une réaction en chaîne qui changera leur vie. En effet, Les Trois Accords vendent maintenant des DISQUES. Cette soudaine popularité leur monte vite à la tête et chacun des membres prend de plus en plus d'assurance. Malgré le nombre d'altercations qui augmente de plus en plus, la tournée bat son plein durant l'automne 2004 et le printemps 2005.
Puis arrive un événement qui bousculera l'avenir du groupe : Alexandre, partit en retraite fermée dans le Nord du Québec pour connecter avec son chi intérieur, s'achète une robe de chambre et décide qu'il ne jouera désormais que du métal. C'est le début d'un long combat pour la survie du groupe. Et un autre coup survient : Simon décide de profiter de la popularité du groupe pour promouvoir sa carrière solo en spectacle et son premier album intitulé : " Greatest hits of the Great vol.1 ". Les autres membres sont sous le choc. C'est donc avec une jambe dans le plâtre et un oeil qui louche que Les Trois Accords débutent la tournée estivale-festival 2005. Mais Pierre-Luc, Charles et Olivier ont plus d'un tour dans leur sac. Prétextant avoir besoin de signatures pour des demandes de crédit, ils fabriquent de faux documents attestant que Simon et Alexandre sont liés au groupe pour une durée de 25 ans et ne peuvent donc s'en soustraire. Bernés comme des sombreros en Espagne, Alexandre et Simon rentrent alors dans les rangs en s'excusant, les larmes aux yeux.
Automne 2005 : Après un été époustouflant, les Rolling Stones (groupe anglais datant du début de la deuxième moitié du 20e siècle) se voient offrir de faire la deuxième partie des Trois Accords à Ottawa et à Moncton, ce qu'ils acceptent avec joie. Et au Gala de l'Adisq, les cinq Drummondvillois remportent deux Félix pour " Album de l'année s'étant le plus vendu " et " Groupe de l'année ". Ils sont contents d'être heureux.
Le retour au travail s'effectue en novembre. Après avoir vendus plus de 180 000 copies de leur Gros Mammouth Album Turbo, les garçons commencent à plancher sur un second opus et, dans la douleur, forgent le fruit de leurs trouvailles. Sous les coups de fouet de Charles et les ordres de Pierre-Luc (véritables tortionnaires), ils réintègrent le studio de Jérôme Boisvert (gourou mental) en février 2006. Les garçons sont chargés à bloc et sont inspirés par tout ce qui bouge. Par un soir d'avril, Olivier se voit même inspiré par tout ce qui ne bouge pas. C'est le début d'un long combat contre sa dépendance à la caféine.
Au bout de 7 mois de labeurs et des poussières grosses comme des semaines, la dernière note de la huitième chanson du deuxième album du quintette est jouée. L'enregistrement est terminé en juin 2006 et les membres du groupe sont fous comme des balais. Charles est un balai à poils courts. Les autres sont des balais à poils longs. Sauf Alexandre, qui pour sa part s'apparente à un balai à poils très longs.
Mais il n'y a pas que les poils d'Alexandre qui s'avèrent être très longs, il y a aussi l'attente de la sortie de l'album. Les garçons, impatients, sachant qu'ils devront attendre plus de deux mois avant la sortie ne savent plus ou donner de la tête. Ils se regardent. Ils regardent au loin. Ils se regardent. Ils regardent au loin. Ils se regardent…non, c'est trop! Ils décident finalement de partir vers l'Australie afin d'apprendre le Dis-Gerry-Doux, un art aussi ancestral que la peinture à petits points chez les aborigènes. Ils vivent nus dans le désert, chassant le jour pour se nourrir, se tatouant des symboles sur les genoux la nuit, pour rien. Et comme ils n'avaient aucune idée du pourquoi de leur départ en Australie, ils n'ont aucune idée du comment de leur retour, mais on raconte parfois que par les froides nuits d'hivers, quand la forêt s'est endormie et que les loups sont dans leurs tanières, en tendant l'oreille, on peut entendre les hiboux demander à Gerry-Doux de répondre à leurs questions. Si le groupe n'a aucune idée du comment de son retour, il a toutefois une grosse idée de ce qui l'attend en arrivant.
C'est le début d'une nouvelle aventure. C'est GRAND CHAMPION INTERNATIONAL DE COURSE.
DS je t eu plus rapide hihihi